
Ça y est, je t'allaite seulement le matin vers 6 heures, une têtée dans la brume du matin, toute endormie que je suis, collée sur mon petit ange qui me regarde en pointant le nez.

Hier encore, j'avais les mamelons en feu pour te servir le repas aux 2 heures. Chaque fois que tu m'empoignais, des aiguilles semblaient s'enfoncer au creux de mes seins et je me souviens à peine de ces douleurs.. tout comme celles de l'accouchement.
Le temps efface ce qu'il faut pour laisser place à à ce qui est bon de se rappeller.
Pour ce qui est de la maternité; je peux déjà parler de la tendresse et des rires fougueux entre nous...

Je savoure à plein ces moments d'allaitement matinaux avec toi.
C'est encore une de nos plus belles connivences.
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