Voici ce que j'ai laissé sur le billet de ton amie Isabel: Chère Isabel que je ne connais pas (encore). Un service! Non une demande! Une requête disons. À votre prochaine sortie au Maxi, toi et Geneviève, dans un quartier périphérique (j’adore l’expression, je l’emploierai dorénavant pour tout ce qui a trait à Geneviève… ), s.v.p., trimbalez avec vous un appareil photo, question de me faire un petit photo-roman de cette sortie lavage de cerveau-consommation-je-vote-donc-j’achète! Je vous en serai reconnaissant à l’infini! Et puis, je suis convaincu que cet exercice saura élever votre garde de consommatrices averties (Mon Dieu! Trois boîtes de pizza-pochettes-choix-du-tralala. En aie-je vraiment besoin?). Merci d’avance. Yanick p.s.: la démocratie Choix du Premier Ministre me fout la rogne, même depuis l’autre bout du monde!
Un matin plus difficile qu'un autre m'a mené vers le net. Je ne connaissais pas cet univers du blogueur. Je ne me suis jamais sentie vraiment blogueuse, je continue ce que j'ai fait auparavant, me connaître et me sonder à travers la réalisation de film et la création de collages. À la fois, me comprendre, me définir et prendre position. Me perdre dans ces montages d'images et de mots afin de m'y voir. Alors est apparu l'idée très simple et accessible de créer sans sortir du bercail, ni de demander de financement pour s'illustrer. Je vois ce blogue comme un polaroïd; l'immédiat, le résultat; les photos ratées et les pensées à oublier de tous les jours puis aussi la grâce de certains moments de la vie. Puis une autre raison fondamentale: laisser une trace, un journal pour mon fils Akim, de son arrivée fracassante dans ma vie de femme. Afin qu'il puisse me connaître sous toutes mes coutures. Et puis est arrivée l'idée du titre: il s'appelle Akim, je suis donc Akimette! Maintenant il y a aussi Sarah qui pourra me découvrir, ce qui est vraiment bien, je crois.
des pas vers demain
Je suis comme je suis:
Je n'ai pas peur, j'ai envie, j'ose, j'ai peur, je m'arrête; j'écris.
Au gré des jours, ma vie de femme dans tout ses états. Comme lors d'un voyage, je me repositionne, me place face à moi-même; j'initie un mouvement qui me fait avancer.
Il y aura aussi l'Afrique, l'amitié, le quotidien, l'enfance, le voyage, l'interculturel; un peu de ma vie en somme!
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Voici ce que j'ai laissé sur le billet de ton amie Isabel:
Chère Isabel que je ne connais pas (encore). Un service! Non une demande! Une requête disons. À votre prochaine sortie au Maxi, toi et Geneviève, dans un quartier périphérique (j’adore l’expression, je l’emploierai dorénavant pour tout ce qui a trait à Geneviève… ), s.v.p., trimbalez avec vous un appareil photo, question de me faire un petit photo-roman de cette sortie lavage de cerveau-consommation-je-vote-donc-j’achète! Je vous en serai reconnaissant à l’infini! Et puis, je suis convaincu que cet exercice saura élever votre garde de consommatrices averties (Mon Dieu! Trois boîtes de pizza-pochettes-choix-du-tralala. En aie-je vraiment besoin?). Merci d’avance.
Yanick
p.s.: la démocratie Choix du Premier Ministre me fout la rogne, même depuis l’autre bout du monde!
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